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about
Chanson du premier confinement, composée et enregistrée en quarantaine. Un trip claustro qui finit en rêve de grand départ. Laisse couler, laisse filer… Lâcher prise.
lyrics
Je révise mes vers, j’aiguise mes rimes au papier de verre, il n’y a rien d’autre à faire, chanter n’est pas un crime… Je baratine.
Cent fois sur le métier, remettre l’ouvrage ou remettre à demain, ou même à jamais, l’ouvrage et le métier… Je procrastine.
Par l’abus de substances je compense l’ennui de ton absence, je consomme à outrance toutes sortes de produits… qui chassent le spleen.
J’ai perdu mes repères, j’erre toute la nuit, comme un zombie, je suis un prisonnier en pyjama rayé… je me confine.
Je garde mes distances de sécurité, la réalité m’inspire de la méfiance je préfère éviter… je me débine.
J’ai refait l’inventaire de toutes mes envies inassouvies, tout ce que je vais faire, tant que suis en vie… je m’imagine.
J’ai bouclé les valises, pris la route du port… Je laisse quelques balises, lestées de remords.
Cap sur les Marquises, les îles au trésor. Laisse couler, laisse filer… Lâcher prise.
credits
released June 22, 2021
Harald : Synthé basse, piano, synthés
Stan : Chant, synthé, boîte à rythmes.
Mixage: Roman Lukasewiez Vando Studio
Oh! Un groove dément s'est emparé des poèmes romantiques chantés sur Oh! Combinaison rare de groove et de poésie, juste imparable et beau. Death by Selfie